Grâce aux séries télévisées françaises et américaines qui ont mis en valeur les procédures de la PTS, le métier de policier technique et scientifique a suscité un grand intérêt ces dernières années. En quoi consiste exactement ce métier et comment s’y prendre pour l’exercer ?

Le métier de la police technique et scientifique

La police technique et scientifique, qui fait partie de la police nationale, est composée d’officiers, de techniciens, de médecins légistes et d’ingénieurs. Leur mission est d’aider les inspecteurs de police à résoudre les crimes en leur fournissant des observations techniques. Ils sont chargés d’analyser les preuves et les indices, de mener des recherches et des examens scientifiques et techniques, et de tirer des conclusions avant de les transmettre aux autorités chargées de l’enquête. Par leur travail, les techniciens de la police scientifique combattent le crime organisé, la délinquance juvénile et le terrorisme. Un ingénieur de la police scientifique supervise le travail d’un technicien de la police scientifique (IPTS). Non seulement ce dernier soutient et assiste l’ingénieur, mais il supervise également les agents spécialisés de la police technique et scientifique (ASPTS).

L’examen d’entrée et le niveau d’étude requis

Selon le niveau d’études, plusieurs possibilités s’offrent au candidat pour faire carrière dans la police technique et scientifique. En général, il suffit d’être titulaire d’un certificat d’aptitude professionnelle (CAP) ou d’un brevet d’études professionnelles (BEP) pour pouvoir se présenter au concours d’accès à la profession d’agent spécialisé de la police technique et scientifique (ASPTS). Ceux qui ont adopté le cursus scientifique général ou les séries technologiques, avec un baccalauréat en poche, auront un avantage significatif au concours. Pour les titulaires d’un diplôme scientifique supérieur de type DUT, IUT ou BTS, ou ceux qui ont suivi des études universitaires en chimie, physique ou biologie, leur participation au concours leur permettra de viser le poste de technicien spécialisé de la police technique et scientifique (TSPTS). Les titulaires d’un diplôme de niveau bac +5 peuvent prétendre à l’emploi d’ingénieur spécialisé de la police technique et scientifique (ISPTS).

Autres conditions d’accès à la profession de police technique scientifique

Pour pouvoir exercer la profession de police technique scientifique, le candidat doit remplir les conditions suivantes : être de nationalité française, avoir un casier judiciaire vierge, avoir accompli ses obligations de service national ou avoir effectué la journée de citoyenneté (JDC) ou obtenu un certificat provisoire de participation s’il a moins de 25 ans, jouir de ses droits civiques et avoir les aptitudes requises pour l’emploi. En outre, le candidat doit être âgé de 18 ans au moins à la date de la première épreuve du concours.

Depuis 1997, l’Association Nationale pour l’Étude de la Neige et des Avalanches (ANENA) forme des maîtres-chiens d’avalanche dans le cadre du plan départemental de secours en montagne pour détecter les victimes d’avalanches. Quelles sont les conditions d’admission et en quoi consiste la formation ?

Pré-requis et préformation

D’une manière générale, cette formation s’adresse aux professionnels vivant en montagne, à proximité des lieux où ils peuvent être amenés à intervenir. Il s’agit principalement de secouristes, mais il peut également s’agir de personnels des communes de montagne ou des téléphériques, d’éducateurs de ski, de gardes de refuge et de sapeurs-pompiers des départements alpins et pyrénéens. Ces personnes doivent avoir une connaissance complète de la montagne. De plus, elles doivent avoir une parfaite maîtrise du ski, dans tous les types de neige, en montée comme en descente. De plus, elles doivent être capables de se déplacer en montagne enneigée en toute sécurité et en toute autonomie. Le moniteur, l’un des décideurs de l’admission et en cas d’avis favorable, rend obligatoire la participation du candidat à cinq séances de préformation. Au cours de ces séances, l’instructeur vérifie la capacité de l’équipe homme-chien à travailler dans des conditions difficiles. Une formation de base, comprenant l’obéissance, les relations maître-chien et la socialisation du chien, est également dispensée.

Critères de sélection

Il est important de noter que le cours est uniquement ouvert aux membres de l’ANENA, tant pour les personnes physiques, comme les stagiaires qui viennent à titre individuel, que pour les personnes morales, comme les entreprises qui envoient leur personnel en formation. De même, pour être autorisé à suivre la formation de maître-chien, le candidat et son chien doivent remplir certaines conditions. Le maître-chien doit être titulaire du PSE1-PSE2, avoir suivi la préformation et s’engager à prendre ses fonctions. Le chien doit être de sexe masculin, âgé de 1 à 4 ans au début de la formation, à jour dans ses vaccins, tatoué et en bonne condition physique. Le vétérinaire aura également à vérifier que le chien a de bonnes chances de rester en bon état de fonctionnement jusqu’à une dizaine d’années. L’acceptation de la demande est accordée par quatre autorités compétentes : le service interministériel de défense et de protection civile de la préfecture, l’employeur, le vétérinaire et le ou les instructeurs nationaux du département où l’activité sera exercée.

Durée et contenu de la formation

La formation de maître-chien d’avalanche dure environ 12 jours, dont 2 sont consacrés au repos. Elle est dispensée par une équipe pédagogique composée de maîtres-chiens d’avalanche, d’éducateurs canins, de sapeurs-pompiers ou de personnels travaillant dans un domaine skiable. À l’issue de la formation, le Brevet National Maître-Chien d’Avalanche est délivré par la Direction de la Défense et de la Sécurité Civile du Ministère de l’Intérieur. La formation comprend 3 tests éliminatoires, dont sur quels critères le chien est-il testé, l’aptitude à la montagne, la recherche du DVA (détecteur de victimes d’avalanche) et un test d’aisance de déplacement avec le chien. Les cours se déroulent en terrain de haute altitude, où les conditions météorologiques peuvent être très exigeantes pour l’homme et le chien. Des cours théoriques sur la neige et les avalanches, l’organisation des secours, le matériel de recherche en avalanche, la psychologie et l’alimentation du chien sont également dispensés pendant la formation.

De nos jours, l’insécurité ne cesse d’augmenter. C’est le cas de l’enlèvement, cambriolages, vandalisme ou vols. Chacun doit prendre toutes les précautions nécessaires. Il existe un éventail de mesures de sécurité. Parmi d’autres, le recours à un maître-chien fournit beaucoup d’avantages

Maître-chien : garant du renforcement de sécurité

Face à la recrudescence de la criminalité, les autorités publiques sont parfois dépassées par les évènements. Les locaux et les résidences privées sont munis d’un système de sécurisation renforcée. Le détecteur de mouvements, vidéosurveillance, traceurs d’effraction font partie des dispositifs de sécurité. Le recours à un chien de garde performe la sécurité. C’est un dispositif complémentaire. L’agent de sécurité peut aussi renforcer la protection.

Le service d’un maître-chien est une activité à part entière. L’agent cynophile maximise la protection de votre entreprise ou votre domicile. En tant que professionnel du métier, le maitre chien dispose tout le savoir-faire nécessaire. C’est un spécialiste dans le dressage des chiens. Le maître-chien travaille au sein d’une société de sécurité.

Maître-chien : avec une mission d’interception

La loi délimite le champ d’intervention du maître-chien. Ainsi, il n’y a aucune interférence avec le travail des autorités et des agents de sécurité. L’agent cynophile intervient dans la sécurisation des distributeurs automatiques de billets ou DAB. Il intervient également lors de la protection rapprochée de personnes. Les chiens contribuent à la gestion de risques et catastrophes naturelles. Désormais, les forces de l’ordre disposent de leurs propres agents cynophiles. Les chiens participent à la lutte contre les stupéfiants. D’autres se focalisent sur la recherche des malfaiteurs. Le chien bien dressé assure la mission de soutien et d’interception. De plus, l’interception est une mission affectant tous les interlocuteurs de sécurité. Au fait, il consiste à créer une zone de sécurité de 100 mètres autour de l’entrée. Le contrôle sera a posteriori. La règle étant l’interception sans concession. Le maître effectue des rondes systématiques sur le site.

Maître-chien : avec une mission de surveillance et d’intervention

Les sociétés de sécurité réalisent des prestations de gardiennage. Le recours aux couples homme-animal entraîne un effet préventif et dissuasif. Vous pouvez faire appel à un prestataire de sécurité. N’hésitez pas de confier la protection de vos biens aux professionnelles du métier. Il convient d’opter pour les agents certifiés et expérimentés. Vous pouvez consulter en ligne les prestations fournies. La réputation de l’expert joue aussi un rôle crucial. En définitive, le maître-chien est le pionner de votre sécurité.

Vous avez envie de tester la fonction de sapeur-pompier mais n’êtes pas convaincu que ce soit le métier qu’il vous faut ? Ou vous avez tout simplement envie de vous familiariser avec ce métier palpitant ? Sachez qu’exercer un autre métier en plus d’assurer la fonction de sapeur-pompier est tout à fait possible. Cela en associant volontariat et activité professionnelle.

Comment cela se passe-t-il ? Quelles sont les conditions à respecter pour que l’on puisse exercer ces deux fonctions de façon bien organisée ? Les détails dans cet article.

Comment s’organiser ?

Au niveau organisationnel, il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Il vous suffit de transmettre à votre employeur, le planning des gardes des sapeurs-pompiers volontaires mis en place sous le contrôle du directeur départemental des services d’incendie et de secours. Cela lui permettra de prendre les dispositions nécessaires lorsque vous serez amené à participer à des formations ou à des interventions.

Dans un tel cas, votre employeur vous délivrera une autorisation d’absence. À noter que le planning des gardes des sapeurs-pompiers volontaire est élaboré en concertation avec le directeur départemental des services d’incendie et de secours.

Un label spécifique en guise de récompense pour vos services

Le fait d’étoffer les rangs des sapeurs-pompiers, même sous le statut de volontaire est un geste noble envers ses concitoyens. A cet effet, sachez que vos efforts ne seront pas vains car la Nation elle-même reconnaît vos accomplissements.

À cet effet, en guise de récompense pour vos loyaux services en tant que sapeur-pompier volontaire, on vous attribuera un label d’employeur/partenaire des sapeurs-pompiers. En plus d’ajouter une étoile à votre CV, ce label vous permettra également de passer pour un citoyen responsable et engagé aux yeux de vos futurs employeurs.

Les modalités de travail et avantages dont bénéficie le sapeur-pompier volontaire

Que le sapeur-pompier volontaire travaille pour une entité publique ou privée, il a le plein droit de s’absenter afin de pouvoir suivre des formations de sapeur-pompier ou pour des missions d’intervention.

L’employeur public peut même inclure la formation des sapeurs-pompiers dans les priorités des plans de formations établissements publics, des ministères, et aussi des administrations publiques. Il en est de même pour l’employeur privé.

Les modalités de travail devront être discutées entre l’employeur et le directeur départemental des services d’incendie et de secours. Le planning des gardes des sapeurs-pompiers volontaires élaboré à partir de cette concertation devra être écrit sur du papier puis, signé par les deux parties.

Le métier de sapeur-pompier sauve des vies, ainsi que les biens des victimes d’incendie, dans une moindre mesure. Ces dernières années, cette profession suscite l’intérêt de plus en plus de personnes, notamment des jeunes bacheliers en quête de leur voie professionnelle et leur future carrière.

Quelques conditions préalables pour être enrôlé

Une personne qui aspire à devenir sapeur-pompier se doit d’être minutieuse et avoir le sens des détails, surtout durant les fréquentes vérifications des matériels et équipements. Par exemple, il doit s’assurer que le véhicule marche bien, les tuyaux, casques et échelles ne présentent pas des signes de défectuosité. En cas d’intervention d’urgence, aucun matériel ni équipement ne doit être oublié à la caserne. Ensuite, la personne doit être sportive, avec une très bonne condition physique. C’est-à-dire qu’elle doit avoir de l’endurance, être dynamique et athlétique. Il est indispensable de ne pas avoir froid aux yeux : avoir le goût du risque, sans pour autant foncer tête baissée. Dans le métier, il faut être discipliné, rigoureux et apte à supporter la pression (surtout dans les cas critiques d’urgences). Si vous n’êtes pas du genre à coucher tard ni de vous lever-tôt, passez votre chemin. En effet, les personnes qui s’enrôlent en tant que sapeur-pompier ont un mode de vie irrégulier : le sommeil est irrégulier, car on peut être appelé à tout moment, au cas où un incendie est déclaré quelque part. 

Les études à suivre pour devenir sapeur-pompier

Si vous remplissez toutes les conditions citées précédemment, vous avez une chance certaine d’être reçue dans n’importe quelle école de pompier. Le métier est accessible avec un Bac+2, toutes séries confondues. Il s’agit de l’officier en grade lieutenant. Il faudra faire des études et formations spécifiques pendant une durée de 10 semaines, réparties sur une période de 18 mois. En parallèle, l’aspirant se doit d’effectuer de nombreux stages et simulations de secours. On y apprend aussi la capacité à travailler en équipe est aussi une condition obligatoire. En effet, il faut un travail d’équipe bien organisé et complémentaire pour conduire le véhicule de pompier, dérouler et tenir le tuyau, l’escalier, sauver les personnes coincées dans la maison en feu…  

Des formations pratiques basées sur l’action et le sauvetage

On apprend aux aspirants tous les gestes métiers relatifs au métier de sapeur-pompier : vérification régulière des nombres et de l’état des équipements et matériels, les étapes à suivre lorsqu’un incendie est déclaré (localisation exacte du lieu, constitution des équipes intervenantes, préparation des combinaisons et outils de sauvetages…). Les formateurs leur apprennent comment intervenir lors de l’extinction des feux, le sauvetage (l’évacuation des personnes en danger). Enfin, on apprend également aux aspirants la maîtrise des gestes essentiels des premiers secours pour encourager une personne sous le choc, voire ranimer les personnes inconscientes.

Le PSC1 est l’un des cours les plus importants reconnus pour sa valeur citoyenne, puisqu’il vise à enseigner l’acquisition des gestes de premiers secours. Ils sont essentiels, par exemple, pour sauver des vies en cas de maladie ou d’arrêt du cœur et sont censés être appris par des cours ciblés

Des conseils pédagogiques sur les premiers secours

Conformément aux directives nationales sur les « recommandations de premiers secours », la formation PSC1 propose une série de mesures pouvant sauver la vie d’un individu qui souffre et est victime d’une blessure, d’une maladie cardiaque ou d’un autre événement mettant sa vie en danger.

La formation de 7 heures remplace les cours théoriques et les exercices pratiques pour l’étudiant, permettant aux participants de maîtriser rapidement les gestes de premiers secours de base et distincts comme le massage cardiaque ou les postures latérales de sécurité.

Remise de certificat et formation PSC1

Des exercices que tout le monde doit maîtriser, le but des premiers secours est non seulement de garantir la survie des individus touchés par une maladie ou un accident, mais également de limiter sa détérioration.

Les participants qui décident de participer au cours PSC1 ont donc absorbé la plupart des actions utilisées par les sauveteurs ou les pompiers pour sauver des vies pendant la formation.

Reconnue et promue au niveau national, cette formation aux bénéfices de la citoyenneté se termine par la remise du certificat PSC1 à ceux qui l’ont complété.

Autres raisons de participer à la formation PSC1

Toute personne est susceptible de faire face à des situations d’urgence dans sa vie où elle-même ou d’autres sont en danger. Un étouffement d’ enfant, un accident de voiture, un malaise dans un supermarché… Le risque est si grand que, sans premiers secours, attendre une urgence peut avoir de graves conséquences. Car l’infirmière ou le médecin ne sont pas toujours là et l’aide peut arriver lentement. Ainsi, dans certains cas, la première fois avant l’arrivée des pompiers ou des services médicaux d’urgence est déterminante… et c’est vous qui décidez !

Afin de savoir prévoir les urgences, avoir les bons réflexes ou prévenir des risques, il n’y a rien de mieux que la formation PSC1. Afin de sauver des vies et de simplifier le travail des services d’urgence le moment où le risque se présente, tout participant devrait la suivre.

Les citoyens ne sont-ils pas le premier maillon de la chaîne de soutien ? Il s’agit également d’un cours de courte durée accessible à tous sans prérequis et à partir de 10 ans. Si nécessaire, il est également adapté pour les personnes handicapées.

Simples, pourtant nécessaires, les gestes de premiers secours permettent de sauver des vies en cas d’accidents ou de maladies graves. Leur pratique n’est pas uniquement réservée aux secouristes, mais également aux particuliers. Justement, comment s’y former ? Dans quel établissement se rendre ? Quel est le programme à suivre ?

Auprès des organismes privés habilités

Souhaitez-vous vous former sur les gestes de premiers secours ? Rendez-vous auprès des organismes privés habilités à les faire. Ces dernières se présentent au niveau national ou départemental, en fonction de leur champ d’activité.

Dans les deux cas, elles disposent d’une équipe nécessaire pour vous former (médecin, formateur titulaire de brevet). Leur intervention se fait de deux manières. Premièrement, elles vous apprennent les bons gestes à adopter en tant que citoyen. Cette première formation vous aide à mieux réagir en cas d’accident ou d’imprévu. Deuxièmement, elles vous proposent également un programme d’apprentissage plus approfondi qui est réservé aux secouristes.

A part les associations (Association nationale des premiers secours, Association nationale des instructeurs et moniteurs de secourisme, …), les fédérations (Fédération nationale d’enseignement et de développement du secourisme, …), la croix rouge ou encore les unions des associations vous proposent des formations.

Auprès des entités publiques

Certains organismes publics mettent à votre disposition une formation sur les premiers gestes de secours. Leurs programmes sont similaires à ceux des associations ou fédérations. Ils vous proposent un apprentissage de quelques heures destiné aux citoyens, mais également un programme réservé aux secouristes.

Ils sont nombreux à proposer de tel service en France. Prenons l’exemple des services départementaux de l’éducation nationale, ou encore de l’Université de Montpellier 1.

Une chose est sûre : ils peuvent être des collectivités, des établissements publics, des administrations centrales, ou des services déconcentrés.

Aux milieux scolaires

Si vous êtes encore au lycée, sachez que la formation sur les gestes de premiers secours fait partie de votre programme scolaire. L’objectif est de vous apprendre à mieux réagir en cas d’accident, de crise ou encore d’imprévu.

Votre formation est assurée par des enseignants disposant d’un certificat de prévention et secours civiques de niveau 1. À l’issue du programme, vous possédez des connaissances éléments sur les premiers gestes de secours.

Toutefois, en tant que lycéen, vous avez également la possibilité de solliciter une formation plus approfondie dans le domaine. Vous pouvez par exemple suivre une formation sur les gestes de premiers secours en équipe afin de devenir secouriste dans des organismes d’intérêt général. Cette possibilité est également accordée aux élèves dans la filière technologique et professionnelle.

Des opportunités pour les jeunes

Dans la branche propreté, il existe des opportunités d’emploi pour les jeunes car la moyenne d’âge des salariés est élevée, il y aura de nombreux départs à la retraite dans les années qui viennent.De plus, nos emplois ne sont pas délocalisables c’est-à-dire que lorsqu’une entreprise remporte un marché, elle intègre dans ses effectifs les employés qui travaillent déjà sur le site.

Les entreprises de propreté interviennent dans divers domaines comme la santé (hôpitaux, maisons de retraite…), le tertiaire (bureaux), la grande distribution, l’hôtellerie, l’industrie agroalimentaire, le milieu scolaire, la distribution et les loisirs (cinémas, salles spectacle…).

Débuter comme agent de propreté ou de service

Le métier d’agent de service consiste à nettoyer les locaux en respectant des techniques précises, mais aussi les clients ! Les femmes de chambre dans l’hôtellerie et les agents de service dans les bureaux travaillent beaucoup le matin et le soir. Dans les hôpitaux, on peut travailler toute la journée, et parfois le week-end. Si l’on veut se spécialiser, il faut passer un CQP (certificat de qualification professionnelle). Par exemple, vous pouvez devenir agent d’entretien et de rénovation en propreté, ou agent machiniste avec le CQP AERP ou le CQP AMC.

Être ponctuel, respecter les normes, avoir l’esprit d’équipe

Pour travailler dans ce secteur, il faut être motivé, respecter les normes de sécurité (dans l’utilisation des produits) et la confidentialité (l’agent peut se rendre chez plusieurs clients), avoir l’esprit d’équipe (car contrairement à une idée reçue on ne travaille pas seul), s’adapter (on peut intervenir dans différents lieux ).

Le niveau de ménage qui est demandé n’est pas le même que chez soi ! C’est un métier physique. On reste souvent debout, il faut donc être en bonne santé. Surtout, il faut être ponctuel et consciencieux. Pour le nettoyage dans les bureaux, il vaut mieux être très rapide. En hôpital, la rapidité n’est pas indispensable, mais il faut être plus attentif aux détails, c’est-à-dire utiliser les bons produits, les bonnes lingettes…

Des CDI et des CDD payés au-dessus du Smic

Il est possible d’être recruté directement en CDI mais, la plupart du temps, les agents de propreté sont embauchés en CDD pour des remplacements qui, si tout se passe bien, se transforment en CDI. Aujourd’hui, le secteur compte 80 % de salariés en CDI. Les contrats sont de 10 à 35 heures par semaine, payés un peu au-dessus du Smic en début de carrière. Au bout de 2 ou 3 ans, les salaires sont augmentés.

Évolution vers un poste de chef d’équipe avec une formation

Il n’est pas rare qu’une personne qui soit entrée dans une entreprise en tant qu’agent de propreté devienne chef d’équipe, au bout de plusieurs années. Dans ce cas, un jeune motivé qui veut évoluer devra passer un CQP Chef d’équipe propreté.

Depuis plus de vingt ans la France est la première destination touristique mondiale. La consommation touristique en France pèse plus de 7 % de notre PIB en 2010 et en 2011 la France a accueilli plus de 81 millions de touristes; autant de visiteurs Français et étrangers qu’il faut héberger, nourrir, détendre et divertir.

Le secteur de l’Hôtellerie-Restauration (HR) et des activités de loisirs est l’un des poids lourd de l’économie nationale ; il représente 905 000 actifs dont environ 705 000 salariés. Parmi les effectifs salariés de ce secteur 7% sont des jeunes en alternance, à savoir employés en contrat d’apprentissage ou en contrat de professionnalisation.

L’alternance très appréciée dans l’hôtellerie-restauration

Le secteur de l’Hôtellerie-Restauration (HR) est en perpétuel mutation pour répondre à la concurrence internationale ainsi qu’aux exigences de plus en plus élevées de la clientèle touristique. Le domaine de l’hôtellerie-restauration a besoin de professionnels qualifiés et l’alternance est une solution pour y répondre.

En choisissant de suivre votre formation en alternance au sein de votre centre vous allez acquérir les connaissances théoriques et les savoir-faire nécessaires pour évoluer dans ce secteur tout en étant rémunéré.

Du point de vue des recruteurs, les candidats ayant préparé leur formation en alternance avec un centre sont très appréciés car ils sont réputés comme étant très motivés, expérimentés et opérationnels immédiatement.

Le secteur de la sécurité recrute pendant que de nombreux secteurs d’activité licencient. Pour exercer le métier d’Agent de sécurité, vous devez obtenir la carte professionnelle délivrée après une formation d’Agent de sécurité. Être sportif, ponctuel, avoir le sens de la communication sont des qualités importantes dans ce métier.

Vous n’avez pas de diplôme ? Le métier d’agent de prévention et de sécurité est peut-être fait pour vous. “Nous recrutons des agents de prévention et de sécurité sans aucune condition de diplôme”, précise Pierre-Antoine Mailfait, secrétaire général de l’Union des entreprises de sécurité privée.

L’embauche d’un agent de sécurité est tout de même soumise à deux conditions : d’une part, vous devez avoir un casier judiciaire vierge. D’autre part, il est obligatoire d’avoir suivi une formation d’Agent de sécurité en 140 heures minimum.

Vos qualités : capacité d’adaptation et maîtrise de soi

Lors d’un entretien, vous devez avoir une présentation impeccable car vous porterez un uniforme dans votre travail. La ponctualité et surtout l’adaptabilité sont des critères très importants. En effet, vous serez amené à assurer des missions sur différents sites, à prendre en charge des situations très variées, à renseigner des personnes…

Il faut aussi être sportif car vous travaillerez souvent debout, en horaires décalés, parfois la nuit ou le week-end. Il faut pouvoir tenir physiquement ! Enfin, il est nécessaire de faire preuve de sang froid pour faire face à certaines situations difficiles… qui restent rares, heureusement !”

Pas de stages de découverte

Il n’est malheureusement pas possible pour un employeur de prendre des jeunes en stage pour leur faire découvrir le métier. Pour aller sur le terrain, une seule solution : avoir la carte professionnelle ! Mais si le secteur vous intéresse, vous pouvez toujours passer une journée dans une entreprise de sécurité, pour interroger les salariés et mieux connaître la réalité du métier d’agent de sécurité.

Des postes à temps plein en CDI

Les postes d’Agent de sécurité sont pratiquement toujours à temps plein et toujours en CDI. Vous êtes payé sur la base du Smic, auquel s’ajoutent différentes primes pour le travail de nuit, les heures supplémentaires, les primes de panier (pour les repas). En travaillant et en vous formant, vous pourrez évoluer vers des postes à responsabilité.

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